« Et Boum et Bam, Pyckal empoigne au ventre le Baron, le Comptable empoigne Ciecisz au ventre, et ils boumbament de rire, et Boum et Bam, et Bam et Boum, les Anciens se tiennent les côtes, ils titubent de rirede rire, Mme Dowalewiczowa piaule, sanglote de rire, pousse des piaillements, Bam Boum tonne le Curé en hurlant de rire, et Muszka et Tuska qui trépignent ! »
« Dans une prose archaïque, comme s’il s’agissait d’un passé lointain, je racontai comment, à la veille de la guerre, j’atterris en Argentine, comment l’explosion de la guerre m’y surprit.
Moi, Gombrowicz, je fais la connaissance d’un « puto » (un pédé) amoureux d’un jeune Polonais, et les circonstances me font l’arbitre de la situation : je puis précipiter le jeune homme dans les bras du pédéraste, ou faire en sorte qu’il reste auprès de son père, un major polonais très honorable et très digne, très vieux jeu.
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Structure de Trans-Atlantique
I. | « Je ressens le besoin de transmettre... » |
II. | « Jamais je n’oublierai ces premiers jours en Argentine... » |
III. | « L’état piteux de mes finances... » |
IV. | « Voilà qu’un beau soir... » |
V. | « Maudite dépravation humaine ! » |
VI. | « Alors, nous pénétrons dans la salle de danse... » |
VII. | « L’insomnie... » |
VIII. | « A la légation, silence... » |
IX. | « Le lendemain l’aube... » |
X. | « Ah comme elle était épuisante... » |
XI. | « Le lendemain matin... » |
XII. | « Je repris connaissance... » |
XIII. | « Enfin, j’aperçus au loin... » |
XIV. | « Gonzalo s’est précipité dehors... » |